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Les Artistes invités
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CINEMA / PROJECTIONS

 


Projections du dernier film documentaire de Thierry Bourdy au Carré d'Art le 16 avril
et au Périscope le 20 mai :

 

 

 

L'oeil écoute, Beauvoisin

Depuis sa création en 1977 l'œil écoute explore divers paysages de l'image et du son. Après la photo, le diaporama, le cinéma super-8, les musiques électroniques et électro-acoustiques, l'œil écoute s'est résolument tourné vers la vidéo en 1981, en s'adaptant régulièrement aux évolutions technologiques de ce support.
Les secteurs d'intervention sont variés :
Création/expérimental : Détourner les machines et les supports de leurs usages entendus, les images et les sons de leur sens premier, de s'aventurer hors champs.
Mémoire/Patrimoine : La mémoire des lieux et des hommes, les paroles et les visages, les images des traces du temps…autant de trésors sensibles à recueillir et à sauvegarder.
Jeunesse/scolaires : Développer l'éducation à l'image, au langage et à la réalisation filmique dans les écoles, collèges et lycée, en ville et à la campagne.
Publics spécifiques : Favoriser l'expression, donner la parole avec ceux dont le quotidien est difficile : adultes en insertion sociale, jeunes des quartiers, handicapés, détenus de prison…
Réalisation et production de films institutionnels : pour les collectivités locales, administrations, associations, syndicats, groupement…)

INFORMATIONS PRATIQUES

Tous les ateliers sont gratuits ainsi que les séances à domicile.


Renseignements-réservations :
Tél :06.63.12.15.04 ou mail : tranches_de_lart@yahoo.fr

 
Au théâtre du Périscope le 20 mai :

Cinéfacto, Toulouse

Cinéfacto est une association regroupant des professionnels et des passionnés de cinéma qui s'investissent depuis 1994 sur des actions en milieu rural, essentiellement sur trois secteurs d'intervention :
L'initiation et la formation à l'image : ces interventions s'inscrivent dans une démarche de sensibilisation, de découverte et d'ouverture vers le langage audiovisuel. Ces séances permettent d'accéder à la connaissance des possibilités technique de l'animation de l'image tout en parcourant l'histoire du cinéma. L'outil vidéo permet de développer le sens de l'observation, de la représentation et d'aborder le langage filmique.
L'intervention en milieu est une véritable initiation au travail de groupe ; la meilleure école de cinéma est celle du terrain, celle qui donne envie de recommencer.
La création cinématographique et audiovisuelle : la création Cinéfacto est le chaînon manquant entre les jeunes créateurs et les productions. L'intervention de professionnels de l'audiovisuel vivant sur place et travaillant sur la création de films est le garant du développement culturel en milieu rural.
La diffusion : pour sue chacun, tous âges confondus puissent avoir accès à la culture cinématographique et audiovisuelle d'hier et d'aujourd'hui à prix modérés et près de chez eux.
Cinéfacto mêle aussi image et spectacle vivant à travers leur création " Les peintres lumières " qui propose une mise en espace à partir de murs d'images fixes et en mouvement.

 

 

 

16 avril 2005, Carré d'Art :

Eric Heilmann et l'Association Super 8 et compagnie, Bonnieux

 

 

 

Cette association, par l'intermédiaire de Eric Heilmann, propose des projections de films super 8 rescapés de nos greniers sur des écrans mobiles. Installations mêlant arts plastiques et cinéma, ces projections rotatives sont réalisés artisanalement par ce personnage passé par le théâtre vidéo (fondation Steve Barnet) et par le travail album de famille du cinéma en Camargue et aux alentours (résidence Ilotopie).
Collectionneur passionné, Eric Heilmann possède une large liste de films super 8 et 16mm originaux et à copies uniques : Scopitones 16mm, documentaires, films de famille, burlesques, dessins animés, science-fiction, horreur, érotisme, etc.
Celui-ci construit également ses écrans de toutes tailles et de formes diverses (carrés, demi-cercle, jeux de miroirs, carrousel, montés sur un axe vertical ou horizontal), et utilise un large panel de matériaux : tissus, plastique, calque, tulle, bois, etc.
Album de famille du cinéma en Camargue et aux alentours : " Parti à la recherche de films de famille amateurs tournés en Camargue et aux alentours avant la vidéo, nous avons dans un premier temps surtout trouvé des documentaires pros à vendre chez les collectionneurs et des films amateurs professionnalisés auprès de club spécialisés qu'il n'était pas possible ou difficile d'emprunter, à cause de la fragilité du support unique, mais qu'il a été possible de copier en vidéo.
De même, nous avons réalisé des enregistrements sonores de collectionneurs, de cinéastes pros ou amateurs et d'habitants de la région. "
Fondation Steve Barnet : (Direction artistique et projection : Eric Heilmann) elle présente un spectacle intimiste, cinématographique et théâtral dont le propos est de faire découvrir l'œuvre originale d'un personnage fictif : Steve Barnet.
L'œuvre cinématographique de celui-ci a en réalité été tournée par des inconnus au cours des années 60, 70 et 80. Ce sont des films super 8 amateurs, trouvés sur des braderies, le plus souvent ratés, parfois insolites ou qui ont été retouchés par différents procédés. Ceux-ci peuvent être socio-réalistes, abstraits ou socio-abstraits. Une abondante production critique et littéraire a été consacrée à l'œuvre de Steve Barnet. Ce sont en fait des détournements de textes parus à propos des plus grand noms du cinéma.

TéATR’éPROUVeTe, Corbigny.

Créée en 1982 à Corbigny, le TéATR’éPROUVèTe a réalisé en 2003 l’évènement Les 80 ans de ma mère.
Il s’agit d’une pièce très particulière en 2 volets, qui s’est déroulé dans le pays Nivernais Morvan, et dont les acteurs sont des personnes agées, des artistes et des familles volontaires.
1er volet : Un service d’artistes à domicile pour personnes agées a été mis en place durant trois mois. Artistes et personnes agées volontaires ont élaboré ensemble des réalisations artistiques de formes diverses.
2ème volet : 8 familles ont réalisé des films sur des personnes agées de leur entourage. Au final, il a été constitué un témoignage collectif que nous diffusons lors de la journée d’exposition associatif au Carré d’Art et lors des séances à domicile.
Pourquoi ce type de proposition ?
Pour sortir des sentiers battus, pour réfléchir sur ce que la société fait de nos vieux, pour prendre le temps d’être un peu plus à leur écoute.
www.theatreprouvette.com

 
Docs aux sels, Monoblet

Issue d’une même volonté de tout mettre en oeuvre pour valoriser la culture cinématographique, l’association Docs aux Sels a vu le jour en 2002.
De l’image regardée à l’image crée, les activités de l’association s’adressent à tout type de population et s’inscrivent dans le domaine de la culture, de l’éducation et de la formation.
L’association souhaite transmettre le goût du cinéma, favoriser la confrontation des idées et initier des échanges de savoir et de savoir-faire. Pour la mise en oeuvre de ses projets, l’association met en place des partenariats avec des associations françaises et étrangères et fait appel à des professionnels du cinéma en activité. Ses principales interventions sont la création de films documentaires, le ciné-club intergénérationnel et intercommunal, le Festival Images et Jeunes Auteurs et les ateliers d’initiation au cinéma.

MUSICIENS invités le 20 mai
  Plateau électro-jazz, au Périscope :
 
FLX, platines

Echalas d’un mètre quatre-vingt dix, Flx est aussi taillé que le fil qui caractérise sa musique : un son de funambule aux accents modernes, un numéro d’équilibriste qui emprunte à toutes les réjouissances musicales d’aujourd’hui. Samples et mix le dirigent naturellement vers la musique assistée par ordinateur. Les scratches restent un moyen d’expression, mais pour composer pleinement, l’ordinateur s’impose, comme pour inventer une musique de spectacle avec les marionnettes du Ratatouille Théâtre sur la création Comment Lucien est devenu un marin ?
2001 marque une étape. Sortie du premier album : 200MMX, en collaboration avec l’association dont il est cofondateur, ABDS.ORG.
S’ensuivent une reconnaissance locale, des contacts et des projets en pagaille. La création du duo KAMéHOUSE PLAYERS (avec Quantikkonfusion) en est un exemple, avec une musique plutôt tournée vers les soirées, mâtinée de big-beat. La collaboration aboutit sur scène, à Montpellier, Marseille ou Lyon. KAMéHOUSE participe également à la compilation montpelliéraine Only a taste, sélection d’artistes ayant taquiné la scène underground de l’OAT.
Manquait à FLX une touche originelle : les véritables instruments des 5 musiciens d’Electrofunk la lui fournissent. Le prix des Jeunes talents 2002 remis par le C.G. du Gard et la Ville de Nîmes vient récompenser leurs efforts. Un CD 2 titres paraît à la FNAC, une scène leur est ouverte durant la Feria de Nîmes.
Les variations personnelles de Flx – des sélections humoristiques aux ambiances intrigantes – le ramènent naturellement à la musique de spectacle. 2003 est riche en collaborations : spectacle de danse contemporaine avec le groupe Boris et les Quincaillers sur un spectacle de la compagnie Florence Saul, participation au nouveau spectacle de la compagnie Ratatouille Théâtre, déjà auréolée du prix du festival Jeune public du Grand Bornant.
2003 est aussi l’année du retour à une démarche plus personnelle pour Flx, qui aboutit début 2004 à la sortie de son 2e album : Clic, crac, pop (16 titres) fruit de bidouillages et de recherches, selon lui. Flx lâche la bride d’une fougue désormais maîtrisée, prenant comme vecteur un son électronique qui s’accrocherait à ses racines hip-hop. Oust Louba ajoute une nouvelle corde à l’arc Félicien. Un album et des concerts à la pelle améliorent l’entente d’un quartet dans lequel il intervient en sniper rythmique et atmosphérique. Le travail mené en résidence avec Boris et les quincailliers atteint quant à lui le plus profond de l’être par sa portée introspective. La poésie imprègne les textes que Boris souffle, que Flx et Philippe Henry portent sur le cocon nuageux des angoisses personnelles, à l’aide de platines, de machines et de cordes. Flx y affirme une sensibilité cachée, désormais mature, prête à éclater au grand jour. Les premiers jets du 3e album en sont imprégnés, de manière violente ou intime. Un son qui ne demande qu’à être servi en live sans perdre le caractère privilégié de l’écoute privée, mais qui ajoute un piment festif à la recette Flx.

 
David Caulet, saxophone

Après deux ans de travail avec un professeur particulier, il intègre le JAM en 1994 où il étudie pendant trois ans au côté de Pierre Diaz, Daniel Severac, Franck Nicolas, René Bosc...
Il suit aussi plusieurs stages, animés notamment par Dave Liebman, Bill Evans, Mike Stern, Trilok Gurtu, Jim Hall, Joe Dorio, Nguyen Le, Jacky Terrasson, Laurent Cugny. Ses premières expériences professionnelles se déroulent au sein d’orchestres de variétés de la région. De plus il accumule les expériences musicales dans différents groupes de funk, rythm’blues.
En 1997 il intègre le big band de salsa Son Candela avec lequel il se produit dans divers festivals (Festival de big band de Pertuis, Festival de Jazz du Grau du Roi, premières partie de Alfredo Rodriguez, de Yuri Buenaventura). En parallèle il donne des cours à l’école de musique du Grau du Roi où il rencontre Jean Hugues Heim qui lui propose d’intégrer L’Age du Capitaine où il rejoint Samuel Silvant et André Franco.
En 2000 il travaille pendant un an à l’AJMI avec Rémi Charmasson.
Depuis 2001 il joue dans le groupe de ska Stevo’s Teen avec lequel il enregistre deux albums et se produit dans plus de 150 salles de concerts et festivals en France et en Europe, (Printemps de Bourges, Trabendo, La Flèche D’or, Rockstore, La Laiterie, Zeniths, premières partie de Noir Désir, Les Wampas, Les Négresses Vertes).
En 2002 et 2003, concert et tournée avec le brass band Dig Dong Brass.
En 2004 il travaille la composition et l’arrangement avec René Bottlang et propose une création pour le BB2G (big band de guitare du Grau du Roi) intitulée Un jour, présentée dans divers festivals du sud de la France.

DISCOGRAPHIE : Stevo’s Teen Airlines (2003 STEVOSTEAM PROD/Mosaïc Music)
Stevo’s Teen Live (2004 STEVOSTEAM PROD/Mosaïc Music)

 
Michel Bachevalier, batterie

Arrivé sur terre en 1956, à Nîmes, Michel Bachevalier commence à jouer dés 1972 dans des groupes à tendance rock et dans divers orchestres de variétés.
Entre 1975 et 1976, il joue au sein de l’orchestre du chanteur occitan Patric, puis il suit un apprentissage jazzistique en trio avec Michel Benita et Olivier Chabrol. Il travaille ou a travaillé avec pas mal de musiciens, certains plus connus que d’autres, mais toujours avec le même but : « faire sonner ».
En 1983, il enregistre pour la première fois ses compositions : « H.82-P.83 ».
En 1986, avec le Michel Bachevalier Groupe, il enregistre un 33 tours : « Pulsion », et fait la première partie de Miles Davis aux arènes de Nîmes avec cette même formation.
Il axe ensuite son travail sur un son plus régional, occitan, en créant la formation Cafarnal Tribu, musiques de scènes et de rue.
En 1988, il part 4 mois au Brésil, pour l’amour de la Bossa Nova. De retour en France, tout en continuant ses activités musicales, il crée un lieu de convivialité, de retrouvailles entre copains et « aficionados » de la musique : La Guinguette. Ce lieu continue d’accueillir la vie culturelle nîmoise et est, depuis 2000, rattachée à l’association Cafarnal Tribu qui désormais, en plus d’une activité musicale débordante, organise des soirées concerts et aide à la création de formations musicales.
A noter également un CD enregistré en public dans le cadre du festival Radio France et diffusé intégralement en direct : « Au Couvent des Ursulines », avec Michel Marre à la trompette et Siegfried Kessler au piano.

Quelques noms : Claude Barthélémy, Philippe Gareil, Jean Charles Agou, Jean Marc Padovani, Patrick Miralles, François Quillet, Gérard Couderc, Luciano Pagliarini, Serge Lazarevitch, Mal Waldron, Thierry Daudet, Daniel Malavergne, Philippe Petrucciani, Jérôme Bourdelon, Siegfied Kessler et Didier Del Aguila.

Olivier Lété, basse

Bassiste électrique autodidacte et contrebassiste de formation classique, Olivier Lété fait partie de l’actuel Orchestre National de Jazz, sous la direction de Claude Barthélémy depuis 2002.
Il multiplie les rencontres et les expèriences musicales et participe à de nombreuses formations de jazz et de musiques improvisées.
Compositeur pour son groupe «500mg» avec Didier Ithurssary, Philippe Lemoine, Pascal Benech et Sébastien Lété, il y développe un univers rythmique fort, jalonné d’improvisations.
Son approche originale de l’instrument s’exprime par la liberté harmonique et la recherche d’objets sonores.
On peut actuellement l’entendre dans Le maigre feu de la nonne en hiver avec Eric Groleau et Philippe Lemoine, Trample Grass avec Christian Lété, Jean-Francois Oliver et Luc Rebelles, Trio Maxime Delpierre, ou dans le groupe du chanteur Manuel Larrouy.
Son parcours professionnel lui a en outre permis de jouer avec : Samuel Silvant, Rémi Charmasson, Philippe Gareil, Aurélien Noêl, Jean Marc Montera, Alex Clapot, Laurent Part, David caulet, Raphaël André...

 
 
Jean-francois Oliver, vibraphone

Jean-françois Oliver a suivi des cours de percussions classiques et de musiques improvisées au conservatoire de Nîmes où il a obtenu un Diplôme d’Etudes Musicales (2002).
Son parcours d’interprète l’a amené à créer des œuvres pour L.Part, A. Clapot, R. Watanabe, J.L. Gergonne et à réaliser un disque de musique improvisée en duo avec O. Lété. Il suit la formation ATIAM à l’IRCAM (2003) puis travaille au GMEM à Marseille en tant qu’assistant musical aux côtés de L. Pottier (2004).
Actuellement il est professeur de percussions et d’informatique musicale à l’école de musique d’Uzès et travaille sur divers projets, notamment avec J.L. Therminarias, J.L. Gergonne, C. Lété, O. Lété, S. Silvant et l’association Achles (D. Wampach).

 


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